Pourquoi la philosophie indienne ne doit pas être laissée aux seuls philosophes

Des historiens de l’astronomie, de la linguistique ou de la médecine indiennes anciennes, on attend généralement qu’ils soient familiers des contreparties occidentales modernes de ces disciplines. Mais qu’en est-il de la philosophie ? Et tout d’abord, existe-t-il en Inde ancienne quelque chose comme...

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Bibliographic Details
Main Author: Bronkhorst, Johannes 1946- (Author)
Format: Electronic Article
Language:French
Check availability: HBZ Gateway
Journals Online & Print:
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Fernleihe:Fernleihe für die Fachinformationsdienste
Published: Univ. 2017
In: ThéoRèmes
Year: 2017, Volume: 11
Online Access: Volltext (lizenzpflichtig)
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Rights Information:CC BY-NC-ND 4.0
Description
Summary:Des historiens de l’astronomie, de la linguistique ou de la médecine indiennes anciennes, on attend généralement qu’ils soient familiers des contreparties occidentales modernes de ces disciplines. Mais qu’en est-il de la philosophie ? Et tout d’abord, existe-t-il en Inde ancienne quelque chose comme une philosophie dont on pourrait faire l’histoire ? Et si oui, qui en sera le meilleur exégète ? Le philosophe attentif aux enjeux systématiques, ou l’historien sensible aux contextes de production ? L’auteur apporte ici sa contribution à un débat qui agite périodiquement, et aujourd’hui à nouveau, les études indiennes et bouddhiques, en soulignant l’importance de la deuxième approche.
ISSN:1664-0136
Contains:Enthalten in: ThéoRèmes
Persistent identifiers:DOI: 10.4000/theoremes.1161