CHOSES, IMAGES DE CHOSES, SIGNES, IDÉES
En expliquant que l'idée n'est ni une image ni un signe ni a fortiori un signe verbal Spinoza réinscrit celle-ci dans la dynamique d'une activité mentale qui, même sous ses formes les plus détendues, comme dans le cas des représentations produites par l'imagination, ne perd jamai...
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Format: | Electronic Article |
Language: | French |
Check availability: | HBZ Gateway |
Journals Online & Print: | |
Fernleihe: | Fernleihe für die Fachinformationsdienste |
Published: |
Librairie Philosophique J. Vrin
1998
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In: |
Revue des sciences philosophiques et théologiques
Year: 1998, Volume: 82, Issue: 1, Pages: 17-30 |
Online Access: |
Volltext (lizenzpflichtig) |
Parallel Edition: | Non-electronic
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Summary: | En expliquant que l'idée n'est ni une image ni un signe ni a fortiori un signe verbal Spinoza réinscrit celle-ci dans la dynamique d'une activité mentale qui, même sous ses formes les plus détendues, comme dans le cas des représentations produites par l'imagination, ne perd jamais son caractère d'activité. Cette conception est examinée à partir d'une relecture des scolies des propositions 17, 18 et 49 de la deuxième partie de l'Éthique. In explaining that it is neither an image nor a sign, even less so a verbal sign, Spinoza restores the idea to the dynamics of a mental activity which, even in its most distended form as in the case of representations produced by the imagination, never ceases to be an activity. This concept is examined with a reading of the scholia of propositions 17, 18 and 49 of Part II of the Ethics. |
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ISSN: | 2118-4445 |
Contains: | Enthalten in: Revue des sciences philosophiques et théologiques
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