La profanation du montage: Le montage/mort et l’infini plan-séquence comme allégorie chez Pasolini

Cet article examine les liens entre, pour l’aspect technique, le plan séquence et le montage, et, pour l’aspect philosophico-historique, la vie quotidienne et la politique mondiale, du point de vue d’une profanation capable de désamorcer la puissance et avec une attention particulière portée à l’uni...

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Veröffentlicht in:ThéoRèmes
1. VerfasserIn: Hildebrandt, Toni 1984- (VerfasserIn)
Medienart: Elektronisch Aufsatz
Sprache:Französisch
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Veröffentlicht: Univ. 2017
In: ThéoRèmes
Jahr: 2017, Band: 10
weitere Schlagwörter:B Pier Paolo Pasolini
B Profanation
B Hans Blumenberg
B Karel Kosik
B philosophie de l’Histoire
B Jean-Paul Sartre
B superposition
B Zapruder
B film expérimental
B Walter Benjamin
B Assassinat de John F. Kennedy
B Evangile de Matthieu
B culpabilité
B plan séquence
B Gustav Landauer
B theorie du montage
B prise longue
B Innocence
B allégorie
B Montage
B Jacob Taubes
B Werner Hamacher
B artin Heidegger
B Joan Copjec
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Rechteinformation:CC BY-NC-ND 4.0
Beschreibung
Zusammenfassung:Cet article examine les liens entre, pour l’aspect technique, le plan séquence et le montage, et, pour l’aspect philosophico-historique, la vie quotidienne et la politique mondiale, du point de vue d’une profanation capable de désamorcer la puissance et avec une attention particulière portée à l’unique film expérimental de Pasolini : La sequenza del fiore di (1968). Ce court métrage n’a pas seulement un statut spécial dans la filmographie de Pasolini, il marque aussi un tournant du tragique vers un ton comique/pessimiste de son cinéma profanateur. Cet article révèle aussi une réception inattendue de Heidegger, par l’intermédiaire du marxisme heideggerien de Karel Kosik et d’une conception benjaminienne du profane fondée sur l’idée de bonheur.
ISSN:1664-0136
Enthält:Enthalten in: ThéoRèmes
Persistent identifiers:DOI: 10.4000/theoremes.1053