Note d'exégèse: Isaïe, LVIII, 9 : Si desieris extendere digitum
Le geste du « doigt tendu» ne signifie pas, en Is., LVIII, 9, la moquerie ou la violence ; on peut y voir un procédé maléfique ; mais, plus probablement, il faut interpréter cette expression comme une formule technique exprimant un acte d'accusation. D'après le contexte, il s'agit d...
Autres titres: | Isaïe, cinquante-huit, neuf |
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Type de support: | Numérique/imprimé Article |
Langue: | Français |
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Publié: |
Palais Universitaire
[1961]
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Dans: |
Revue des sciences religieuses
Année: 1961, Volume: 35, Numéro: 4, Pages: 369-377 |
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Résumé: | Le geste du « doigt tendu» ne signifie pas, en Is., LVIII, 9, la moquerie ou la violence ; on peut y voir un procédé maléfique ; mais, plus probablement, il faut interpréter cette expression comme une formule technique exprimant un acte d'accusation. D'après le contexte, il s'agit d'une accusation injuste, d'un faux témoignage. Le prophète stigmatise les gens qui « tendent le doigt en proférant le mensonge ». Attitude incompatible avec le culte agréable à Dieu. |
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ISSN: | 0035-2217 |
Contient: | Enthalten in: Revue des sciences religieuses
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Persistent identifiers: | DOI: 10.3406/rscir.1961.2299 |