Exorcism: A device of differentiation in Burmese Buddhism

En Birmanie, l’exorcisme est facilement observable en tant que pratique de guérison, et apparaît comme un domaine relativement bien délimité, enchâssé dans l’ésotérisme bouddhique birman plus vaste et multiple connu sous le nom de voie des weikza. Dans cet article, l’exorcisme sera examiné pour dévo...

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Auteur principal: Brac de la Perriére, Bénédicte (Auteur)
Type de support: Électronique Article
Langue:Anglais
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Fernleihe:Fernleihe für die Fachinformationsdienste
Publié: Sage 2022
Dans: Social compass
Année: 2022, Volume: 69, Numéro: 4, Pages: 481-497
Sujets non-standardisés:B possession d’esprit
B Exorcisme
B Spirit Possession
B adorcism
B Buddhist Burma
B adorcisme
B Exorcism
B Birmanie bouddhiste
Accès en ligne: Volltext (lizenzpflichtig)
Description
Résumé:En Birmanie, l’exorcisme est facilement observable en tant que pratique de guérison, et apparaît comme un domaine relativement bien délimité, enchâssé dans l’ésotérisme bouddhique birman plus vaste et multiple connu sous le nom de voie des weikza. Dans cet article, l’exorcisme sera examiné pour dévoiler ce qu’il fait à la religion birmane. En particulier, la manifestation d’êtres malfaisants provoquée par les spécialistes chez leurs patients au cours de séances, par des mouvements supposés erratiques, est opposée aux danses de possession d’esprit comme l’exorcisme à l’adorcisme (de Heusch). Il est avancé que le comportement corporel est utilisé par l’exorciste comme un moyen de démontrer que le culte des êtres spirituels doit être abandonné par les patients entreprenant la cure exorciste et par les adeptes des weikza.
In Burma, exorcism is readily observable as a healing practice, and appears as a relatively well-bound domain ensconced into the larger and manifold Burmese Buddhist esoterism known as the weikza path. In this article, exorcism will be examined to unveil what he does to the Burmese religion. Particularly, manifestation of nefarious beings provoked by specialists in their patients during séances, through supposedly erratic movement is opposed to spirit possession’s dances as exorcism to adorcism (de Heusch). It is argued that bodily behaviour is used by exorcist as a way to demonstrate whose spiritual beings’ worship should be abandoned by patients undertaking the exorcist cure and by weikza followers.
ISSN:1461-7404
Contient:Enthalten in: Social compass
Persistent identifiers:DOI: 10.1177/00377686221115529